La Visitation à Metz

La Ville de Metz décide de construire une cité administrative sur l’emplacement même du Monastère de la Visitation. Les religieuses durent déménager. Elles s’implantèrent dans l’Ancien Allumnat des Pères Assomptionnistes, sur le flanc de la colline du Saint Quentin à Scy-Chazelles (7 km de Metz).

Après la libération de Metz par les alliés (21 novembre 1944), les sœurs exilées eurent la joie de revenir rue Four du Cloître.

Durant la deuxième guerre mondiale, la plus grande partie de la communauté fut dispersée dans divers Monastères de France. Cinq sœurs restaient seules à Metz.

5 octobre 1817 : Après la dispersion de la communauté en 1792, lors de la Révolution Française, ce n’est qu’en 1817 que des Sœurs de la Visitation de Fribourg (en Suisse) rétablissent le couvent de Metz, rue Four du Cloître.

Dispersion de la communauté, lors de la Révolution Française,

Grandes fêtes pour la canonisation de Jeanne de Chantal.

Béatification de Saint François de Salles, qui sera canonisé quatre années plus tard.

Le monastère de Metz a l’honneur de recevoir la visite d’Anne d’Autriche et Louis XIV.

Jeanne de Chantal meurt au monastère de Moulins. A cette date, il existe alors 160 monastères en France, regroupant plus de 6 000 religieuses.

Les sœurs de Riom échouent dans leur mission et quittent la ville de Metz. Six sœurs de Pont-à-Mousson viennent les remplacer.

Sur la demande de la Reine Anne d’Autriche, sept sœurs de la communauté de la Visitation de Riom arrivent à Metz. Le 24 avril 1633, elles fondent un nouveau monastère, rue Mazelle à Metz, en achetant la maison de l’abbé de Fiquelmont. Les débuts sont difficiles.

François Mansart achève l’église Sainte-Marie des Anges pour les Visitandines du faubourg Saint-Antoine. Anne d’Autriche se rend à Metz et s’étonne qu’aucun couvent de Visitandines n’y ait été établi. Les premières démarches s’engagent.

Un deuxième couvent est fondé à Paris au faubourg Saint-Antoine. Les sœurs de Pont-à-Mousson envoient une communauté à Nancy. Un couvent est fondé dans la capitale ducale avec la protection de Charles VI

Première fondation lorraine : Jeanne de Chantal vient à Pont-à-Mousson poser la première pierre.